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En réaction à "http://whatculture.com/wwe/10-reasons-roman-reigns-should-lose-wwe-title-at-payback-2016 c'est tellement vrai..." sur ask.fm/Felixtaker :
Je ne suis pas d'accord avec tout, mais les arguments sont là. Honnêtement, je pense que sur le fond, c'est la marche la plus judicieuse à suivre, mais la WWE va continuer de s'entêter. Surtout maintenant que Reigns a bien eu son "'Mania moment" forcé, et que Vince a commencé un peu à céder sur certains trucs (moins de promos, comportement plus "tweener" et plus de séquences d'action qu'autre chose). Il va vouloir retour sur investissement, un moment ou un autre, mais il continue d'aller dans le mur. Et cette feud (plutôt bien menée d'ailleurs) face à Styles, ce n'est que pour profiter et capitaliser sur les bonnes ventes de produits dérivés à l'effigie d'AJ, et surfer sur la vague du "Bullet Club" (entre guillemets parce que il l'est sans l'être) maintenant que Gallows & Anderson sont arrivés. Cependant, pour revenir sur l'article de WhatCulture là-dessus, je pense qu'il y a moyen d'enclencher quelque chose de plus positif pour tout le monde à Payback 2016 en effet. Je ne sais pas pour Styles comme champion du monde, tout de suite, et un simili "Bullet Club" en "full face", mais le reste est faisable quand même.
Imaginons ... A Payback, malgré de premières interventions déjà réussies, Styles stoppe les secondes continuant de vouloir la jouer "fair-play". En conséquence, il perd sa momentanée position de force, et Reigns en profite pour l'achever par surprise (donc finish semi-"clean"). Alors qu'il s'apprête à célébrer sa victoire très vite, Anderson & Gallows l'attaquent et le démolissent. Après avoir repris ses esprits, Styles constate tout ça et les sépare. Tentant de se relever, Reigns lui fait un doigt d'honneur, un peu groggy, pensant le faire aux deux assaillants. Frustré par sa défaite, et maintenant enragé par la supposé insolence de celui qui ne l'a jamais cru "clean" malgré tous ses efforts, AJ décide de reprendre le "beatdown" sous un possible ovation du public ravi.
Le lendemain, donc, le "Bullet Club" circa WWE 1.0 est officialisé et Reigns, quant à lui, débute son turn. Démoli et toujours champion, sans l'ombre (sur le papier) d'une faute commise, il est accueilli terriblement mal. Blessé physiquement, il dit qu'il est fatigué (mentalement) de toujours recevoir le même accueil. Lui qui a combattu The Authority, qui s'est battu contre un malade qui en avait contre sa famille, et qui reste même le dernier à conserver les valeurs du tant aimé Shield. Comme il l'a dit, il est "juste le gars", cet employé de la WWE que la WWE a choisi, pour ses compétences. Et ça il voit bien que ça les dégoûte. Parce que ce n'est pas leur chouchou "indy" inconnu de la TV, au look cheap et au physique pas sexy qui a été choisi. En somme, c'est comme si eux n'avait pas été choisi, et qu'il les avait dépassé dans une ligne d'attente ou avait raflé le job qu'ils voulaient. Eux, qui n'ont ni les compétences, ni le background, et la super famille qu'il a, lui.
Cette famille de samoans exceptionnels, dont le talent coule dans leurs veines. Et dont il est le fier héritier, voire même le pus grand représentant. C'est pour ça qu'il a été choisi par Vince McMahon, tout simplement parce qu'il est le nouveau The Rock et qu'il a même déjà accompli beaucoup plus que lui (citant la victoire dans le plus grand Main-Event de 'Mania, par exemple). Et ce qu'il a toujours sur les épaules, et que n'a pas réussi à lui prendre AJ Styles, le prouve. Une idée que ces supposés fans (auxquels ils s'adressent là) détestent, et qui ne réaliseront jamais, exempts de son talent.
Ainsi pourrait commencer une nouvelle étape, plus concrète, de la transformation de Roman Reigns pour revenir, à terme, au Ric Flair de mauvaise humeur qu'il avait jadis brièvement incarné. Cette simple interview prouve d'ailleurs qu'il est étonnamment plus à l'aise dans ce genre de rôles que dans son rôle :
Un Roman Reigns, empereur orgueilleux et égocentrique, sans être excentrique comme le 'Nature Boy'. Une top-star d'énième génération qui étale ses exploits ("donnés" et non "mérités" selon le public) et ses qualités (attrait marketing, aisance à la TV, look d'athlète et de star d'action-movie, etc). Toujours sérieux, dédaigné et confiant. Qui, au niveau de l'attitude ne change pas radicalement (transformation plus organique et cohérente), mais arrêtes de se battre contre un public qui ne veut pas et dont il ne veut pas. Un Reigns qui continue de squasher allégrement ses adversaires, avec ses mêmes mimiques sur le ring (c'est son attrait super-héros, très marketable), mais s'autorise certaines facilités. Confiant que quoi qu'il arrive désormais, il aura toujours le Main-Event et son gros gros chèque de top-star en fin de compte.
Voilà un Reigns que j'apprécierais voir, surtout en préparation d'un retour de Seth Rollins à la Triple H en 2002, où il sera accueilli comme un roi. Le tout, donnant un Rollins "face" vs. Reigns "heel" la parfaite affiche pour SummerSlam par exemple.
Je ne suis pas d'accord avec tout, mais les arguments sont là. Honnêtement, je pense que sur le fond, c'est la marche la plus judicieuse à suivre, mais la WWE va continuer de s'entêter. Surtout maintenant que Reigns a bien eu son "'Mania moment" forcé, et que Vince a commencé un peu à céder sur certains trucs (moins de promos, comportement plus "tweener" et plus de séquences d'action qu'autre chose). Il va vouloir retour sur investissement, un moment ou un autre, mais il continue d'aller dans le mur. Et cette feud (plutôt bien menée d'ailleurs) face à Styles, ce n'est que pour profiter et capitaliser sur les bonnes ventes de produits dérivés à l'effigie d'AJ, et surfer sur la vague du "Bullet Club" (entre guillemets parce que il l'est sans l'être) maintenant que Gallows & Anderson sont arrivés. Cependant, pour revenir sur l'article de WhatCulture là-dessus, je pense qu'il y a moyen d'enclencher quelque chose de plus positif pour tout le monde à Payback 2016 en effet. Je ne sais pas pour Styles comme champion du monde, tout de suite, et un simili "Bullet Club" en "full face", mais le reste est faisable quand même.
Imaginons ... A Payback, malgré de premières interventions déjà réussies, Styles stoppe les secondes continuant de vouloir la jouer "fair-play". En conséquence, il perd sa momentanée position de force, et Reigns en profite pour l'achever par surprise (donc finish semi-"clean"). Alors qu'il s'apprête à célébrer sa victoire très vite, Anderson & Gallows l'attaquent et le démolissent. Après avoir repris ses esprits, Styles constate tout ça et les sépare. Tentant de se relever, Reigns lui fait un doigt d'honneur, un peu groggy, pensant le faire aux deux assaillants. Frustré par sa défaite, et maintenant enragé par la supposé insolence de celui qui ne l'a jamais cru "clean" malgré tous ses efforts, AJ décide de reprendre le "beatdown" sous un possible ovation du public ravi.
Le lendemain, donc, le "Bullet Club" circa WWE 1.0 est officialisé et Reigns, quant à lui, débute son turn. Démoli et toujours champion, sans l'ombre (sur le papier) d'une faute commise, il est accueilli terriblement mal. Blessé physiquement, il dit qu'il est fatigué (mentalement) de toujours recevoir le même accueil. Lui qui a combattu The Authority, qui s'est battu contre un malade qui en avait contre sa famille, et qui reste même le dernier à conserver les valeurs du tant aimé Shield. Comme il l'a dit, il est "juste le gars", cet employé de la WWE que la WWE a choisi, pour ses compétences. Et ça il voit bien que ça les dégoûte. Parce que ce n'est pas leur chouchou "indy" inconnu de la TV, au look cheap et au physique pas sexy qui a été choisi. En somme, c'est comme si eux n'avait pas été choisi, et qu'il les avait dépassé dans une ligne d'attente ou avait raflé le job qu'ils voulaient. Eux, qui n'ont ni les compétences, ni le background, et la super famille qu'il a, lui.
Cette famille de samoans exceptionnels, dont le talent coule dans leurs veines. Et dont il est le fier héritier, voire même le pus grand représentant. C'est pour ça qu'il a été choisi par Vince McMahon, tout simplement parce qu'il est le nouveau The Rock et qu'il a même déjà accompli beaucoup plus que lui (citant la victoire dans le plus grand Main-Event de 'Mania, par exemple). Et ce qu'il a toujours sur les épaules, et que n'a pas réussi à lui prendre AJ Styles, le prouve. Une idée que ces supposés fans (auxquels ils s'adressent là) détestent, et qui ne réaliseront jamais, exempts de son talent.
Ainsi pourrait commencer une nouvelle étape, plus concrète, de la transformation de Roman Reigns pour revenir, à terme, au Ric Flair de mauvaise humeur qu'il avait jadis brièvement incarné. Cette simple interview prouve d'ailleurs qu'il est étonnamment plus à l'aise dans ce genre de rôles que dans son rôle :
Un Roman Reigns, empereur orgueilleux et égocentrique, sans être excentrique comme le 'Nature Boy'. Une top-star d'énième génération qui étale ses exploits ("donnés" et non "mérités" selon le public) et ses qualités (attrait marketing, aisance à la TV, look d'athlète et de star d'action-movie, etc). Toujours sérieux, dédaigné et confiant. Qui, au niveau de l'attitude ne change pas radicalement (transformation plus organique et cohérente), mais arrêtes de se battre contre un public qui ne veut pas et dont il ne veut pas. Un Reigns qui continue de squasher allégrement ses adversaires, avec ses mêmes mimiques sur le ring (c'est son attrait super-héros, très marketable), mais s'autorise certaines facilités. Confiant que quoi qu'il arrive désormais, il aura toujours le Main-Event et son gros gros chèque de top-star en fin de compte.
Voilà un Reigns que j'apprécierais voir, surtout en préparation d'un retour de Seth Rollins à la Triple H en 2002, où il sera accueilli comme un roi. Le tout, donnant un Rollins "face" vs. Reigns "heel" la parfaite affiche pour SummerSlam par exemple.
